Lionel Ginoux

Version Papier
4 à 4
Clarinette, Violon, Violoncelle et Xylophone
Durée 4'30
4 à 4 expose de nombreux timbres et des couleurs instrumentales ainsi que des modes d’attaques variés : l’air et le souffle avec la clarinette, des cordes frottées avec le violon et le violoncelle, et des sons percussifs et des attaques nettes et précises avec xylophone. Les quatre instruments se mélangent parfaitement en polyphonie avec des passages homorythmiques, faisant jaillir des sonorités surprenantes.

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4 à 4
Clarinette, Violon, Violoncelle et Xylophone
Durée 4'30
4 à 4 expose de nombreux timbres et des couleurs instrumentales ainsi que des modes d’attaques variés : l’air et le souffle avec la clarinette, des cordes frottées avec le violon et le violoncelle, et des sons percussifs et des attaques nettes et précises avec xylophone. Les quatre instruments se mélangent parfaitement en polyphonie avec des passages homorythmiques, faisant jaillir des sonorités surprenantes.

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Allegro con velo
Violon
Durée 05'00
D’une double corde naît une mélodie orientale langoureuse et douce sur un tempo allegro. Elle se transforme en des mélismes chantants,tournoyants autour des couleurs chaudes et chaleureuses de l’Orient, puis elle retourne à son état primaire de mélodie en double cordes.

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Allegro con velo
Violon
Durée 05'00
D’une double corde naît une mélodie orientale langoureuse et douce sur un tempo allegro. Elle se transforme en des mélismes chantants,tournoyants autour des couleurs chaudes et chaleureuses de l’Orient, puis elle retourne à son état primaire de mélodie en double cordes.

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Avide, Aride, Acide
Clarinette
Durée 13'00
3 mots, 3 caractères, changer une lettre du mot Avide former 2 autres mots de caractères différents Aride et Acide.Avide, image d’une molécule qui circule dans le corps humain. Mouvement incessant de quintolets, qui prend des changements musicaux brusques.Aride, c’est le désert. Désert de notes (six notes). Travail sur le timbre et l’expressivité de l’instrument.Acide, c’est l’amertume du goût. Le registre suraigu de la clarinette qui peut déranger l’oreille.

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Avide, Aride, Acide
Clarinette
Durée 13'00
3 mots, 3 caractères, changer une lettre du mot Avide former 2 autres mots de caractères différents Aride et Acide.Avide, image d’une molécule qui circule dans le corps humain. Mouvement incessant de quintolets, qui prend des changements musicaux brusques.Aride, c’est le désert. Désert de notes (six notes). Travail sur le timbre et l’expressivité de l’instrument.Acide, c’est l’amertume du goût. Le registre suraigu de la clarinette qui peut déranger l’oreille.

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Complexes
Clarinette, Violoncelle et Piano
Durée 05'00
Complexes est une composition issue de la grammaire picturale de Kandinsky, d’après le tableau Deux complexes. L’idée est de structurer la pièce et de construire les matériaux musicaux en fonction des trois éléments picturaux du tableau : le point, la ligne et la courbe. Le point c’est un cluster, objet sonore statique, compact. La ligne naît du mouvement, elle est dynamique. Les appogiatures comme des flashes lumineux représentent un mouvement en cercles.

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Complexes
Clarinette, Violoncelle et Piano
Durée 05'00
Complexes est une composition issue de la grammaire picturale de Kandinsky, d’après le tableau Deux complexes. L’idée est de structurer la pièce et de construire les matériaux musicaux en fonction des trois éléments picturaux du tableau : le point, la ligne et la courbe. Le point c’est un cluster, objet sonore statique, compact. La ligne naît du mouvement, elle est dynamique. Les appogiatures comme des flashes lumineux représentent un mouvement en cercles.

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Grimace
Saxophone Baryton et Pédale d'effets (ou bande)
durée 07'
Jeu de timbre, sonorité. improvisée ? Pièce Virtuose ?Travail sur la spontanéité, l’énergie. La présence du musicien. Une musique sur la pulsation ? Décalage…Ou bien des flashes lumineux, des éclats sonores, des trajectoires aléatoires.Et après ? La tension, le silence…
Dédiée à Joël Versavaud Création Octobre 2005 Quid Novi (Avignon) 

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Grimace
Saxophone Baryton et Pédale d'effets (ou bande)
durée 07'
Jeu de timbre, sonorité. improvisée ? Pièce Virtuose ?Travail sur la spontanéité, l’énergie. La présence du musicien. Une musique sur la pulsation ? Décalage…Ou bien des flashes lumineux, des éclats sonores, des trajectoires aléatoires.Et après ? La tension, le silence…
Dédiée à Joël Versavaud Création Octobre 2005 Quid Novi (Avignon) 

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isonata
Alto et Piano
durée 17'
Oeuvre dédiée à Jérémie Honnoré. Une commande du Festival Musique à la Ferme (2014).
Le départ de cette pièce est ma passion pour l'alto et le désir d'écrire une pièce pour cet instrument. L'alto a donc un rôle important. Il prend une place particulière dans cette partition. Le piano vient "colorer" la voix de l'alto et augmenter son intensité dramatique.
Avec isonata, j'ai voulu revenir non pas aux formes connues de la sonate classique, mais revenir au point de départ de la création de cette forme qui était : "de fournir à la musique instrumentale un équivalent musical à l'action dramatique (comme dans l'opéra ou le concerto) en donnant une définition claire du contour de cette action (point culminant facile à identifier, point de tension maximal vers lequel converge les parties...) " (Charles Rosen). Je suis parti de cette idée de contraste des matières musicales, de clarté de la forme, afin de malaxer la forme sonate "classique".
Dans isonata, musicalement mon postulat était de superposer des accords consonnants (accord trois sons main gauche, accord trois sons main droite) et d'utiliser la répétition et la résonance afin de couper les repères temporels et de travailler sur le flot musical. A partir de ces deux principes, j'ai créé la forme et la tension/détente de la partition par empilement ou soustraction de matière musicale.
J'ai ensuite augmenté le titre "sonata" du "i" qui est de nos jours peut-être une lettre emblématique avec les iphone, ipad, imac... Je trouvais que cela pouvait faire sens avec la modernité. Cette lettre "i" m'a posée la question, dans ma création, de la mémoire et surtout du fait que notre connaissance est maintenant tributaire des disques durs ou autres stockages. On confie notre savoir et nos connaissances à nos machines. C’est troublant car on apprend maintenant d’avantage à chercher qu’à retenir. 
La mémoire et le langage ne s’anesthésient-ils pas peu à peu au profit de nos machines ? C’est un peu cela dans cette pièce. Le langage dans isonata est comme atrophié mais il garde toute sa force et sa puissance!!

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isonata
Alto et Piano
durée 17'
Oeuvre dédiée à Jérémie Honnoré. Une commande du Festival Musique à la Ferme (2014).
Le départ de cette pièce est ma passion pour l'alto et le désir d'écrire une pièce pour cet instrument. L'alto a donc un rôle important. Il prend une place particulière dans cette partition. Le piano vient "colorer" la voix de l'alto et augmenter son intensité dramatique.
Avec isonata, j'ai voulu revenir non pas aux formes connues de la sonate classique, mais revenir au point de départ de la création de cette forme qui était : "de fournir à la musique instrumentale un équivalent musical à l'action dramatique (comme dans l'opéra ou le concerto) en donnant une définition claire du contour de cette action (point culminant facile à identifier, point de tension maximal vers lequel converge les parties...) " (Charles Rosen). Je suis parti de cette idée de contraste des matières musicales, de clarté de la forme, afin de malaxer la forme sonate "classique".
Dans isonata, musicalement mon postulat était de superposer des accords consonnants (accord trois sons main gauche, accord trois sons main droite) et d'utiliser la répétition et la résonance afin de couper les repères temporels et de travailler sur le flot musical. A partir de ces deux principes, j'ai créé la forme et la tension/détente de la partition par empilement ou soustraction de matière musicale.
J'ai ensuite augmenté le titre "sonata" du "i" qui est de nos jours peut-être une lettre emblématique avec les iphone, ipad, imac... Je trouvais que cela pouvait faire sens avec la modernité. Cette lettre "i" m'a posée la question, dans ma création, de la mémoire et surtout du fait que notre connaissance est maintenant tributaire des disques durs ou autres stockages. On confie notre savoir et nos connaissances à nos machines. C’est troublant car on apprend maintenant d’avantage à chercher qu’à retenir. 
La mémoire et le langage ne s’anesthésient-ils pas peu à peu au profit de nos machines ? C’est un peu cela dans cette pièce. Le langage dans isonata est comme atrophié mais il garde toute sa force et sa puissance!!

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